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  • : Les Écritures de Karola
  • : Des poemes, lectures, histoires et des pensées ect...
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  • L`ÉCRITURE DE KAROLA
  • Une femme tres sociable et simple qui aime la vie.
 
 J'ai besoin d'écrire pour ressortir tout ce qui habite en moi.
 
 La joie, la tristesse, mes peurs, et mes rêves.
 
 
 C'est moi Karola.................signé Carole
  • Une femme tres sociable et simple qui aime la vie. J'ai besoin d'écrire pour ressortir tout ce qui habite en moi. La joie, la tristesse, mes peurs, et mes rêves. C'est moi Karola.................signé Carole

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 17:43

Les cheminées fumantes enveloppaient Québec d'une brume artificielle, et firent tousser l’amoureux. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

   Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une adorable voix chanta:
   - Qui est là?
   - C'est amoureux! Répondit celui-ci.
   - Je ne connais aucun amoureux! Dit la voix.
   Il y eut un silence.
   - C'est toi, amoureuse? Fit amoureux.   La porte s'ouvrit soudain:
   - Mais oui c'est moi, mon amoureux!   Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
   - Entre, dit-elle.
Amoureux pénétra dans la salle à manger avant de s'asseoir dans un fauteuil. Puis il fixa amoureuse. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
   - Amoureuse...
   Elle détourna la tête.
   - Amoureuse, répéta-t-il.
   Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
   - Euh... bredouilla amoureux.
   Mais les mots ne venaient pas... alors amoureuse passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
   Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions.
   - Je t'aime, dit amoureux   - Je t'aime aussi, dit amoureuse
   Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.  
   - la foudre m'a frappé... et je voulais que tu saches que tu es mon amour.  
   - Oh.!.. c'est bien vrai?
   - Oui, c'est vrai.    - Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi charmant à l'intérieur qu'à l'extérieur.
 

 Amoureux rougit. Il se sentait bien. Au loin, un vagabond criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
   - Embrassons-nous encore... souffla amoureux
   Ils s'embrassèrent donc.  Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Québec était loin. Ils virent passer un érable, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan.  Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Amoureuse, que la folie saisissait, se voyait aimer au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immense et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain. Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
   - Ne me quitte jamais, disait Amoureux
   - Je ne te quitterai jamais. Je t'aime, répondait Amoureuse.  Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

   Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.

 

 

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 17:28

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La Lune ouvrit un œil, et bailla longuement. Le tintement des clochettes des étoiles l’avait tirée de son doux sommeil. Elle s’étira avec délectation dans ses draps de Soie Lactée, profitant de ces instants de repos. Puis elle se leva tranquillement, ouvrit son armoire et contempla sa garde robe. Il y avait 3 vêtements : un blanc, réservé aux jours de pleine Lune, et deux noirs, l’un pour sa phase montante, l’autre pour sa phase descendante. Chaque jour, elle agrémentait sa robe d’une pincée de poussière d’espace, et elle devenait plus lumineuse, ou plus sombre, suivant la saison… Mais elle n’avait jamais disparu du ciel… Elle enfila sa robe de croissance, prit son bâton de bergère, et sortit. Les étoiles se dispersaient déjà dans le ciel, et commençaient à brouter les bras, dont elles étaient friandes. Mais déjà une s’aventurait un peu trop loin. La Lune siffla doucement, et l’étoile revint aussitôt, obéissante…Elle tourna son regard vers la Terre. Boule de lumière, qu’elle éclairait d’une lueur blafarde… Elle aurait tant aimé la visiter… Mais son troupeau d’étoiles l’accaparait entièrement. Si l’une d’elle s’approchait trop près de la Terre, le sifflement doux et les bras blanc de la Lune la ramenaient bien vite… Mais la Lune avait trop envie de venir sur la Terre… Mais on remarquerait vite son absence… La nuit passa très vite, et l’aurore rouge poussa les étoiles à se cacher, et la Lune à rentrer chez elle. Comme elle en avait envie, de visiter cet endroit !! Tous les soirs, elle le regardait. Tous les soirs, il lui révélait un nouveau visage… Enfin, elle se décida. Elle allait visiter ce monde qui lui faisait tant envie… Elle passa toute la journée, enfermée chez elle, à coudre avec ses doigts de fée, décorant une pièce de tissu gigantesque. Elle voulait être la plus jolie pour aller là bas.... Le soir venu, la Lune ouvrit sa porte, et apparut dans toute la splendeur d’une robe d’un noir de jais. Elle jeta sur le troupeau d’étoiles ce qui lui restait de poussières d’espace, pour mieux les voir, et se rendit sur Terre.

C’était plus beau que tout ce qu’elle avait pu imaginer. Les rues illuminées, les villes animées…les campagnes vides, mais si agréables… Elle contemplait le monde. Mais personne ne faisait attention à elle. Tout le monde regardait le ciel, se demandant où elle était passée. Elle sourit, et dit : « La Lune contemple le monde, et le Monde est dans la lune. »
Depuis ce jour, la nuit revêt une fois par mois sa robe noire, et descend sur terre. Si vous croisez une femme au teint pâle, habillée d'une longe robe couleur de la nuit, ne l'abordez pas... Laissez la contempler les tableaux du monde...

 

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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 01:51


La Lune ouvrit un œil, et bailla longuement. Le tintement des clochettes des étoiles l’avait tirée de son doux sommeil. Elle s’étira avec délectation dans ses draps de Soie Lactée, profitant de ces instants de repos. Puis elle se leva tranquillement, ouvrit son armoire et contempla sa garde robe. Il y avait 3 vêtements : un blanc, réservé aux jours de pleine Lune, et deux noirs, l’un pour sa phase montante, l’autre pour sa phase descendante. Chaque jour, elle agrémentait sa robe d’une pincée de poussière d’espace, et elle devenait plus lumineuse, ou plus sombre, suivant la saison… Mais elle n’avait jamais disparu du ciel… Elle enfila sa robe de croissance, prit son bâton de bergère, et sortit. Les étoiles se dispersaient déjà dans le ciel, et commençaient à brouter les bras, dont elles étaient friandes. Mais déjà une s’aventurait un peu trop loin. La Lune siffla doucement, et l’étoile revint aussitôt, obéissante…Elle tourna son regard vers la Terre. Boule de lumière, qu’elle éclairait d’une lueur blafarde… Elle aurait tant aimé la visiter… Mais son troupeau d’étoiles l’accaparait entièrement. Si l’une d’elle s’approchait trop près de la Terre, le sifflement doux et les bras blanc de la Lune la ramenaient bien vite… Mais la Lune avait trop envie de venir sur la Terre… Mais on remarquerait vite son absence… La nuit passa très vite, et l’aurore rouge poussa les étoiles à se cacher, et la Lune à rentrer chez elle. Comme elle en avait envie, de visiter cet endroit !! Tous les soirs, elle le regardait. Tous les soirs, il lui révélait un nouveau visage… Enfin, elle se décida. Elle allait visiter ce monde qui lui faisait tant envie… Elle passa toute la journée, enfermée chez elle, à coudre avec ses doigts de fée, décorant une pièce de tissu gigantesque. Elle voulait être la plus jolie pour aller là bas.... Le soir venu, la Lune ouvrit sa porte, et apparut dans toute la splendeur d’une robe d’un noir de jais. Elle jeta sur le troupeau d’étoiles ce qui lui restait de poussières d’espace, pour mieux les voir, et se rendit sur Terre.

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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 03:15
C’est l’histoire de deux petits frères, un a 9 et l’autre 11 ans.

Un soir, celui de 11 ans dit : « Maintenant que
je suis presque un homme, je commence à sacrer demain matin.»

Le petit frère de 9 ans le regarde et dit: « Moi aussi d’abord, je commence à sacrer demain matin. »

Le lendemain matin au déjeuner, la mère demande au petit garçon de 11 ans :
« Qu’est-ce que tu veux pour déjeuner ? »

Ce dernier répond : « Moi, TABARNACK, à matin, je vais prendre du gruau. »

La mère, rouge de colère, rétorque: « Ah ben toi, à matin, tu vas savoir ce que je pense. »

Elle l’accroche par les cheveux de l’autre côté de la table et le fait traverser de son côté directement par dessus la table et lui donne toute une volée.

Le garçon de 9 ans, abasourdi, assiste à la scène.

Il regarde sa mère cogner comme une folle sur son frère de 11 ans, elle crie, et frappe, bref, elle capote.

Le garçon de 11 ans saigne du nez, a un œil au beurre noir, son chandail est déchiré et il est en pleurs.

Celui de 9 ans, terrifié, observe la scène. Il avale sa salive avec grande difficulté. Il n’a jamais vu sa mère dans un tel état.

La mère catapulte son fils de 11 ans de l’autre côté de la table en lui donnant une dernière taloche en pleine face et lui dit : « Ne me refais jamais plus un affront comme ça, m’as-tu entendu mon petit maudit ? »

Puis elle se retourne et essaie de reprendre un peu ses esprits et demande à son fils de 9 ans : « Toi, qu’est ce que tu vas prendre pour déjeuner à matin ? »

Le petit garçon avale sa salive et répond :



« CÂLISSE, pas du gruau en tout cas. »








 




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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 03:55
La dame qui regardait les fleurs en ceuillit et en fesait une couronne : - toute souriante la dame aux cheveux noires là posant sur sa tête et partit vers la porte bleue.......en ouvrant la porte voit une grande lueure blanche, s'approche doucement et soudain l'ange devant elle lui dit : rentrez Dame venez vous receuillir suivez le passage il vous menera vers une source une femme est là qui vous attend...!
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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 20:19
Prenez le petit chemin, suivez les fleurs du jardins en vous rendant vers les escaliers blanches et en admirant la beauté de c'est lieu, tourner à droite et vous y verrez une femme pensif qui regarde les yeux remplis d'amour les magnifiques roses signent  de la bonté de son coeur.  allez près d'elle posez la main sur son épaule et demandez lui ce qu'elle voit au delà de ses fleurs, en lui fesant un sourire peut être qu'elle vous donnera une rose !  Ne partez pas suivez la route que la dame vous indiquera !
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7 novembre 2009 6 07 /11 /novembre /2009 03:18




Le lendemain, allant m’asseoir près de mon arbre je murmurais dans ma tête le rêve mélodieux :

 

Une forêt chantante. Elle renfermait aux cœurs de ses vertes entrailles, un parfum si frais si captivant, qu’elle imbibe les alentours d’un air pur et lourd. Sa senteur faisant, semblait rappeler  grimper dans ses feuillus atours. Et quant au soir venaient se perdre dans les feuillages, les milles et un murmure de la brise nocturne, les amoureux venaient de par et d’autre, la forêt récupérait son souffle des doux mots. Tandis qu’au loin paraissait l’envolé des ombres, qui semblaient se fondre à l’obscurité. La bruyante masse aux plumages noirs, venait se repaître de la dure journée, et prendre à son tour, part aux esprits de la forêt. Ah! s’y mon cœur ne pouvait avoir qu’un souhait, je me fonderai à la nature de la forêt. Quel rêve merveilleux, levant les yeux au ciel se pense à mon amour, une larme glissant sur ma joue : je lui murmure en pensant que le vent lui chuchoterait : Je t’aime !!!!!!

 

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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 03:25

Le printemps s'éveille, je vais à sa rencontre, suivant un chemin qui coule au milieu de la nature.
Les oiseaux accompagnent ma marche, ils volent de branche en branche et ne cessent de chanter.
Ici et là, les animaux sortent boire le soleil sur les rochers chaleureux.

Une multitudes de petites fleurs s'ouvrent, le printemps se réveillés laissant un  léger souffle de vent embaument leur parfum de fraîcheur...

Sous un ciel bleu emplit de lumière, le coeur se remplit de joie dame nature accomplit des miracles.
Le printemps s'éveille, il me saisit, doucement je m'éveille avec elle.

L'instant de la rencontre a lieu au fil des pas. Et bien que c soient dans cette nature qui m'entoure que je la vois, la rencontre ne se passe pas à cet endroit. Elle se vit intérieurement, comme une naissance.

Oui, le printemps fleurit en moi donnant naissance à la vie comme dame nature à la terre.

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5 octobre 2008 7 05 /10 /octobre /2008 15:29

L'Art d'être Épaisse !!!

 

UNE PETITE JOKE POUR BIEN TERMINER LA JOURNÉE OU LA COMMENCER!

 

L'Art d'être Épaisse !!!
 
Après de longues, très longues études de droit, une femme ouvre son bureau d'avocate.

Lors de son premier jour de service, elle entend frapper à la porte. Pour impressionner le nouveau venu, elle saisit son téléphone et lui demande d'attendre un instant.

Elle reste ainsi une demi heure faisant semblant de répondre à un appel :'Oui, bien sûr... Je ne laisserai pas tomber...''Cette affaire me semble d'ailleurs simple.'' En effet, je suis persuadée que lors du prochain jugement, le juge nous donnera une sentence favorable et nous gagnerons. Elle reste ainsi pendue au bout du fil.

 

Après avoir raccroché, elle se tourne vers le nouveau venu et lui demande d'une voix posée :


'Eh bien, jeune homme, que puis-je faire pour vous ?':

L'homme lui répondit :


Je travaille chez Bell, je viens vous installer votre ligne téléphonique.

 

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26 août 2008 2 26 /08 /août /2008 01:06

Quelque chose de rare est arrivée cette semaine dans le centre ville de Spokane aux USA

 

et je voulais partager cette merveilleuse histoire avec vous.
Joël, est un banquier responsable des prêts à la Banque Sterling au centre ville de Spokane,

 

il travaille au 1er étage d'un immeuble sur l'avenue Riverside.

 

Il y a quelques semaines il aperçu une cane colvert qui faisait son nid sur le bord de la fenêtre de  son bureau,

 

à plus de 3 mètres au dessus du trottoir.
La cane a pondu 10 oeufs dans la jardinière qui lui servait de nid, et couva ses oeufs pendant quelques semaines.

 

Lundi dernier les 10 oeufs avaient fait place à 10 canetons!...
 

Joel se demandait comment la cane allait se débrouiller pour amener ses canetons à l'eau dans cet environnement urbain, car ceci se produit généralement pendant les premières 48 heures qui suivent l’éclosion.

 

Mardi matin en arrivant au bureau Joël remarqua la cane qui était sur le bord de la fenêtre et

 

qui encourageait ses canetons  à la rejoindre, puis elle s'envola jusqu'au trottoir 3 mètres plus bas,

 

elle continuait de caqueter afin d'encourager ses canetons à faire le Joël ne pouvait imaginer ces petites créatures plongeant dans le vide!.......

 

et pourtant le premier caneton fit le saut et tomba sur le trottoir de ciment,

 

Joël sorti du bureau et se plaça directement sous la fenêtre,

 

voyant le petit caneton qui se remettait de sa chute presque fatale.
 

saut.

Joël  regarda vers le haut car le 2ème caneton se préparait à sauter,

 

il se cacha sous le porche pendant que la cane continuait appeler ses petits,

 

quand le caneton sauta Joël sorti de son abri juste à temps pour l'attrapera vol,

 

il le déposa à coté de la cane et du premier encore un peu ''groggy
 

1 par 1 les canetons continuèrent de sauter et Joël les cueillait 1 par 1,

 

les passants s'étaient tous arrêtés sur le trottoir et regardaient les canetons sauter jusqu'au dernier

 

et la famille au complet était de nouveau réunie, au grand plaisir de la cane.

Joël réalisa alors que la petite famille n'avait pas encore terminé son périple,

 

il lui restait à traverser 2 pâtés de maisons, quelques rues et ruelles et la foule du centre ville de Spokane,

 

avant d'arriver au premier plan d'eau qui était la rivière Spokane.

 

Les secrétaires qui observaient le tout depuis l'étage joignirent Joël en lui apportant une boite de carton pour

 

y placer les canetons, ils placèrent les 10 petits dans la boite sous oeil de la cane,

 

Joël tenait la boite assez bas pour que  la cane puissent voir ses petits.

 

Il se dirigea alors doucement vers la rivière Spokane à travers les rues du centre ville,

 

Quand ils arrivèrent à la rivière, la cane dépassa Joël  pour aller à l'eau et se mit à caqueter de nouveau.

 

 Les employés de la banque Sterling penchèrent le bois en la posant au sol afin d'aider les canetons à sortir

 

pour rejoindre aussitôt la cane dans l'eau.

 la cane le suivant à courte distance.

 

Les 10 canetons nageaient maintenant en formation serrée  autour de la cane.   

 

Joël  raconte que la cane fit quelques cercles devant eux en caquetant comme pour les remercier de leur aide précieuse.

 

 

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