Le lendemain, allant m’asseoir près de mon arbre je murmurais dans ma tête le rêve mélodieux :
Une forêt chantante. Elle renfermait aux cœurs de ses vertes entrailles, un parfum si frais si captivant, qu’elle imbibe les alentours d’un air pur et lourd. Sa senteur faisant, semblait rappeler grimper dans ses feuillus atours. Et quant au soir venaient se perdre dans les feuillages, les milles et un murmure de la brise nocturne, les amoureux venaient de par et d’autre, la forêt récupérait son souffle des doux mots. Tandis qu’au loin paraissait l’envolé des ombres, qui semblaient se fondre à l’obscurité. La bruyante masse aux plumages noirs, venait se repaître de la dure journée, et prendre à son tour, part aux esprits de la forêt. Ah! s’y mon cœur ne pouvait avoir qu’un souhait, je me fonderai à la nature de la forêt. Quel rêve merveilleux, levant les yeux au ciel se pense à mon amour, une larme glissant sur ma joue : je lui murmure en pensant que le vent lui chuchoterait : Je t’aime !!!!!!