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  • : Les Écritures de Karola
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  • L`ÉCRITURE DE KAROLA
  • Une femme tres sociable et simple qui aime la vie.
 
 J'ai besoin d'écrire pour ressortir tout ce qui habite en moi.
 
 La joie, la tristesse, mes peurs, et mes rêves.
 
 
 C'est moi Karola.................signé Carole
  • Une femme tres sociable et simple qui aime la vie. J'ai besoin d'écrire pour ressortir tout ce qui habite en moi. La joie, la tristesse, mes peurs, et mes rêves. C'est moi Karola.................signé Carole

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30 décembre 2007 7 30 /12 /décembre /2007 18:49
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L'histoire que je vais vous raconter remonte à la nuit des temps.
A cette époque, la terre était recouverte de vastes forêts sans fin, certaines étaient inextricables et les voyageurs égarés retrouvaient rarement leur chemin.
En ces temps là, les loups vivaient nombreux, ils formaient des clans très intelligents, forts et courageux, ils n'avaient d'autres ennemis que les hommes.
Les hommes quant à eux nourrissaient une haine profonde envers les loups et lorsqu'ils se trouvaient face à face, il était rare que tous deux survivent à cette rencontre.
A peine l'enfant des hommes marchait, qu'il avait appris à haïr le loup.
Chaque décennie écoulée, les loups, uniquement les chefs de clan et quelques élus entreprenaient le grand voyage. De toutes les régions du Nord de l'hémisphère, ils convergeaient en un même lieu, une vaste clairière au centre d'une forêt profonde et noire, quelque part dans un pays que l'on appellera plus tard Brocéliande.  
Certains venaient de très loin, c'était le grand rassemblement au cours duquel les loups mâles et femelles encore solitaires allaient sceller une nouvelle alliance, ils venaient là trouver le compagnon d'une vie.
Les chefs partageaient leur savoir et les jeunes bâtissaient leur descendance.
Cette année là, LOUAN, chef de clan encore solitaire venait pour y trouver une compagne, chemin faisant il pensait au lourd secret qui était le sien.
Quelques mois plutôt, au cours d'une chasse, il avait découvert une jeune femme évanouie dans la neige fraîche. Il s'était approché d'elle doucement, avec méfiance comme on lui avait toujours appris, de longues minutes s'étaient écoulées ainsi, quand soudainement la jeune femme bougea, elle entrouvrit les yeux et loin d'être terrifiée par la vue du loup, elle lui sourit.
Elle tendit une main et caressa la fourrure de l'animal, celui-ci accueillit cette marque d'affection d'abord avec surprise puis bientôt avec plaisir. Sans savoir qu'il pouvait la comprendre, elle lui expliqua sa peur lorsqu'elle s'était vue égarée dans la forêt, en entendant du bruit, elle s'était mise à courir sans voir une grosse branche qui barrait le chemin, elle avait trébuché lourdement et s'était évanouie.
Tout en lui parlant elle n'avait cessé de le caresser. Elle le regarda droit dans les yeux et lui demanda de l'emmener jusqu'au village, seule dite, je ne retrouverai jamais ma route.
LOUAN s'exécuta, il la reconduisit jusqu'à l'entrée du village et longtemps il resta là, à la regarder partir, même lorsqu'il ne pouvait plus la voir.
De retour dans la tanière du clan, il comprit qu'il ne serait plus jamais le même, jamais plus il ne verrait les hommes de la même manière.
Il se prit même à revenir guetter l'entrée du village dans l'espoir de l'apercevoir.
****************
A de nombreux kilomètres de là, une louve et son frère cheminaient au côté d'un chef de clan, ils faisaient eux aussi route vers le grand rassemblement.
La louve KALËPSIONE venait y faire alliance, elle l'espérait depuis longtemps mais depuis l'été dernier, elle était habitée par la peur, son chemin avait croisé celui d'un gentilhomme blessé, au lieu de le dénoncer à la meute comme il se doit, elle l'avait caché, recouvert de feuilles et de branchages et l'avait nourri jusqu'à ce qu'il puisse se débrouiller seul.
L'homme n'avait jamais manifesté la moindre crainte face à la louve, au contraire il aimait à lui parler, à la caresser, il lui faisait des confidences comme il l'aurait fait à un des ses semblables. Il rêvait d'un monde où les hommes et les loups feraient la paix, un monde où la haine de l'autre n’existera plus.

Un soir alors que KALËPSIONE venait le retrouver, il était parti en laissant sur le sol son écharpe, un peu de son odeur qu'elle prit plaisir à renifler.
Souvent, depuis lors, elle venait s'allonger au pied de l'arbre qui avait été le témoin de leur amitié.
La clairière sacrée était prête, tous les participants s'étaient rassemblés en plusieurs cercles, au milieu se trouvaient les solitaires, il était de coutume de s'observer et lorsqu'un loup mâle trouvait une louve à sa convenance, il s'avançait au milieu du cercle, puis de là en rampant il se dirigeait vers l'élue.
Ce soir sacré, lorsque KALËPSIONE aperçu LOUAN elle reconnut immédiatement le compagnon qui habitait ses rêves, celui qu'elle avait toujours attendu.
Aussi, bousculant toutes les règles, elle s'avança vers lui, sans crainte, le regardant au fond de ses prunelles dorées.
LOUAN comme s'il avait toujours su ce qui allait arriver, accepta KALËPSIONE comme compagne sans se formaliser de la façon cavalière qu'elle avait utilisé pour arriver à ses fins.
La nuit même leur union fût scellée. Le grand sage donna son accord après avoir vérifié qu'ils n'appartenaient pas au même clan et que leurs deux statures s'harmonisaient entre elles.
La louve fit ses adieux au clan LOUAN construisit leur gîte non loin de l'endroit où il avait découvert la jeune femme l'hiver dernier.
Au printemps de l'année qui suivit, KALËPSIONE donna naissance à deux louveteaux, un mâle et une femelle. Avant de mettre bât, elle avait avoué à LOUAN le parjure qu'elle avait fait à sa race en cachant et en nourrissant un humain. LOUAN lui avait à son tour confié son secret et depuis lors ils ne formaient plus qu'un.
Une nuit, ils furent réveillés par des cris qui les firent sortir de leur tanière, ils aperçurent au loin une fumée épaisse, un incendie embrasait le ciel. Les cris durèrent longtemps et au petit jour une odeur âcre parvint jusqu'à eux.
La magie des loups en ces temps là était grande et leur haine des humains encore plus grande, plusieurs clans s’était unis pour détruire un village qui avait tué plusieurs des leurs. Ceux qui n'avaient pas péris dans l'incendie, furent dévorés pas les loups.
LOUAN rassembla sa compagne et ses petits et décida de s'éloigner à tout jamais de ces contrées barbares, il voulait un monde différent pour sa descendance.
Au même moment, un homme et une femme, seuls survivants du massacre fuyaient eux aussi l'horreur de la nuit.
La légende dit que la route des loups croisa celle des humains
Que LOUAN reconnu la jeune femme qu'il avait secouru de même que KALËPSIONE reconnu l'homme comme étant celui qu'elle avait caché dans les bois.
On dit aussi qu'ils firent chemin ensemble jusqu'à une grande clairière.
Uniquement avec leur courage, ils bâtirent un monde nouveau où tous ceux qui vivaient sans haine furent les bienvenus. Les humains comme les loups...
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29 novembre 2007 4 29 /11 /novembre /2007 04:05
Qui sont ces Acadiens ?
 
 
Comment ces Français vivent-ils en Acadie ? Quel est leur habitat ? Que mangent-ils ? Telles sont les questions que nous abordons dans cet article sur la vie quotidienne des français émigrés en Acadie, particulièrement à Port-Royal (Annapolis Royal) dans les premières années de leur installation. Le sujet étant vaste, nous nous limitons à quelques fragments de leur quotidien. Pour en savoir plus, veuillez vous référer aux sources et bibliographies citées dans ce document.

Durant le XVIIè siècle, une colonie française s’installe en Acadie. Les enfants de ces colons constituent les premiers Acadiens. Aujourd’hui, plusieurs millions de personnes sont les descendants de ces émigrés.
Port-Royal - colonie française - sera restituée à l’Angleterre en 1713 par le traité d’Utrecht. La ville prendra le nom d’Annapolis Royal.
La ville de Port-Royal, située aujourd’hui sur la côte de la baie de Fundy en Nouvelle-Écosse, est entourée à l’époque de marécages et de forêts. Les colons constatent, après avoir défriché les terres boisées, que celles-ci ne donnent pas de bonnes récoltes. Le grain est difficile à lever malgré les efforts et la ténacité de chacun. Aussi, se tournent-ils vers la mer pour assécher les marais. Des digues nommées aboîteaux seront érigées pour repousser les limites de la mer. Ce travail se réalise lorsque les marées ne sont pas trop fortes. La construction et l’entretien des aboîteaux tissent un réseau de solidarité entre les habitants. Oeuvre collective, tous s’y mettent, les hommes, les femmes et les enfants. Le labeur sera vite récompensé car dès la seconde année de construction d’une digue, la récolte produira de bons résultats.
Crédit Photo : Ph. Léon, 2003
 
 
La technique des digues se pratique dès 1632 en Acadie. La colonie compte des sauniers originaires du Poitou et des côtes de l’ouest de la France qui maîtrisent cette technique. Les marais asséchés permettent de récolter le sel indispensable pour conserver la morue et les denrées. Rien n’est perdu : le foin sauvage est récupéré pour nourrir les animaux lors de la saison froide. Une fois récoltées, les meules de foin sècheront sur des supports en bois surélevés appelés chafauds.
L’agriculture occupe une bonne partie de la population même chez les artisans. A titre d’exemple, Charles Orillon dit Champagne, natif de la ville de La Flèche, France, est en Acadie vers 1697 en tant que soldat maçon, puis maçon. Il possède quelques années plus tard un quart d’arpent de terre en valeur, deux bêtes à cornes, 2 bêtes à laine, 1 cochon et 1 fusil. Tous ne logent toutefois pas à la même enseigne. Certains possèdent un petit lopin de terre et quelques bêtes, d’autres se distinguent par le nombre d’arpents de terres en valeurs et cultivées et un cheptel diversifié. Quoique de faibles dimensions, les terres situées près des marais offrent un meilleur rendement. L’Acadie exporte ses excédents vers l’Ile Royale et dans les colonies américaines. Un commerce illicite s’effectue entre les Acadiens d’Annapolis Royal, capitale de la Nouvelle-Écosse (possession anglaise) et l’Ile Royale (territoire français). Le bétail, les céréales et les fourrures sont acheminés par bateaux jusqu’à Louis bourg.
Les terres regorgent de céréales, de blé, de froment, d’orge, d’avoine et de seigle. Chaque maisonnée possède un jardin ou pousse une variété de légumes : carottes, betteraves, navets, choux pommés, citrouilles, oignons, concombres... Les choux, une fois poussée sont arrachés de la terre. La partie comestible est renversée dans le sol en guise de préservation, technique que l’on utilise encore en Bretagne. Garde-manger, la neige recouvre certains légumes durant la saison froide. La cuisinière prélève alors la quantité nécessaire pour nourrir la famille.
 
 
Pour cultiver, l’habitant utilise les outils traditionnels de la ferme : la charrette à deux roues, la charrue à rouelles ou à défaut, des bœufs qui servent de bêtes de trait. Le bétail du pauvre se compose de quelques bêtes à cornes, de cochons, de volailles et de brebis. Le cheval utilisé en Acadie vers 1665 est une bête relativement chère pour l’époque. Seuls les colons bien lotis peuvent se permettre une telle acquisition. Les quelques recensements dépouillés par nos soins, ceux de 1671 et 1701, ne mentionnent pas de manière explicite des chevaux dans la composition du cheptel.
Le temps marqué par les saisons
Le climat conditionne l’activité des habitants. Les hivers s’étalent sur cinq à six mois en moyenne. Durant cette période, le froid est continu. La neige, souvent poussée par des vents violents, s’amoncelle en nuages nommés « poudrilles ». Tête baissée, chacun va son chemin muni de raquettes. La fin de l’hiver enfin arrivée, certains sortent leurs chaloupes pour aller à la pêche.
Au retour du printemps, tous vaquent à leur occupation. Certains ensemencent la terre, d’autres sèchent la morue. L’été achevé, la moisson est un travail partagé par tous. Puis, l’automne arrive avec les arbres formés de bouquets de couleurs vermillon, bouton d’or, vert forêt, orange créole. Les hommes agrippent leur mousquet sur la porte de leur chaumière et partent chasser les renards, les castors, les orignaux ou les élans. Chaque morceau d’une bête a son utilité : la graisse prélevée servira à faire de l’huile à brûler pour s’éclairer. La viande ravira les convives. La peau servira à fabriquer des manteaux et des souliers sauvages.
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31 août 2007 5 31 /08 /août /2007 12:30


                                                                         thumbnail-45-.jpg

OK !

Lisez-bien....

Qu'est-ce qu'une personne aime plus que la vie? 

Qu'est-ce qu'une personne possède en venant au monde?

    Que peut-on détester plus que la mort? 

Qu'est-ce qu'une personne satisfaite désire le plus? 

Qu'est-ce qu'une personne démunie possède déjà?

Qu'est-ce qu'un avaricieux distribue ici et là? 

Qu'est-ce qu'une personne sans talent et dépensière accumule?

Qu'est-ce que toute personne emporte avec elle dans sa tombe?
 
Il y a une seule réponse pour toute ses questions !

Réfléchissez bien....la réponse demain...

bonne chance !



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23 juin 2007 6 23 /06 /juin /2007 23:04
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La Poupée
 
Je suis une poupée fait de plastique dure et la couleur de ma peau est la même que ceux des humains et ils disent que je ne ressens rien, mais détrompez-vous ! Quand qu’une fillette me prend dans ses bras, me donnent des bisous me serre contre son cœur je sais, qu’elle m’aime et que je suis sa petite fille à elle, car elle me lave, me peignent les cheveux, me change de couche et me berce et chante des chansons de sa petite voix angélique et je vois son sourire sur son visage. Mais la petite fille au fil du temps grandit et me laisse de côté dans un coin de sa chambre car maintenant elle a d’autres préoccupations de jeune fille, et moi j’attends qu’on vienne me prendre me serrer contre leur cœur de me couvrir de bisous et d’affection et j’ai le sentiment que je suis vivante car je ne ressens rien au toucher mais je sens bien que je donne beaucoup d’amour à toute les fillettes du monde. Voilà mon histoire de poupée fragile à l’intérieur très sensible au geste humain. Il n’a rien de plus beau qu’une caresse d’un enfant. Alors nous les adultes est-ce qu’on nous donne de l’importance à l’amour par un simple geste seulement un sourire peut faire un immense plaisir à une personne que nous aimons.
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17 mai 2007 4 17 /05 /mai /2007 18:01
 
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Ce soir je désir vous exprimez le rêve qui m’est apparu soudainement derrière mes yeux plein de larmes ou même le papier détrempé empêche cette plume d’écrire chaque mot qui se dresse au sommet de mon cœur. L’odeur de la chandelle qui brûle devant moi me rend nostalgique en pensant à toutes mes rêveries d’adolescent qui n’ont su se matérialiser dans ce monde un peu fou ou même mon cœur n’aurait jamais pensé être blessé un jour !
 
Ce monde qui m’apparaissait doux et magique à mon adolescence et ou l’Amour avait toute sa raison d’être et ou je fondait ma vie sur mes rêveries de vivre la plus grande histoire d’amour des temps modernes, ou je me voyais déposé mes lèvres sur des lèvres pur et sans méchanceté ! Un rêve d’adolescent qui me permettait de croire que par amour tout était possible de concevoir mon bonheur et le bonheur des autres qui me suivraient vers un monde magique et merveilleux ou la haine n’existe pas et ou les colombes survol notre jardins secret remplis de roses sauvages qui ornement le lac des cygnes ! Des chutes majestueuses qui se dressaient sur le flanc de la montagne enchantée ! Sous ce ciel d’un bleu éclatant ornés de nuages d’un blanc couleur de soie blanche et ou les oiseaux nous murmure une aire de Mozart à l’oreille et ou les gens qui y habitent vivre dans une harmonie l’un pour l’autre sans demander en retour !
 
Mon rêve d’être amoureux dans ce monde perdu sans valeur, s’est vite effrité quand j’ai pris le temps d’ouvrir les yeux et de regarder autour de moi ce que les gens faisaient de leur vie et ou la jalousie fait part à la pire des destructions de l’âme, un monde de perdition ou l’amour n’avait plus sa raison d’être ! C’est alors que j’ai levé la tête vers le ciel et j’ai crié mais pourquoi ne fais-tu rien pour leur faire comprendre, mais pour quoi tu les laisses vivre contre ta volonté, et c’est alors que sa réponse fut que le silence ! Un silence de tristesse où même lui se sentait impuissant face à la mésaventure de notre monde, comme si un autre l’avait attaché dans son paradis et qui avait pris le control de ce monde où l’on vit ! C’est alors que j’ai compris que ce monde était perdu à jamais, qu ces gens disparaîtrais bientôt l’un après l’autre sous l’emprise de la maladie, de la haine pour les autre, de leur jalousie chacun d’eux détruirais tout ce qui reste de la personne qui se dresse devant chacun d’eux, jusqu’au jugement dernier !
 
Que par la haine qui pousse ces gens à chaque jour de la vie à détruire ce monde qui était magnifique à ces débuts, voilà que ce monde se révolte contre ces gens en produisant toutes sortes de cataclysme afin de leur faire réaliser l’importance de la vie ! Mais personne n’écoute et la Terre se déchaîne de plus en plus pour créer le plus grand des rat de marée afin de noyés cette haine pour toujours !
 
On dirait que personne ne comprend le sens de leur vie ou il vont dans tous les sens sans jamais trouvé le bonheur puisqu’il ne prennent pas le temps de s’écouté, d’ouvrir leur cœur comme un livre ouvert aux autres de peur que quelqu’un leur vole tout ce qui leur reste d’estime d’eux-mêmes ! Ils courent contre la montre chaque jour de la vie pour revenir toujours au même point sans jamais avancé comme si chacun d’eux se trouvait sur un tapis roulant et ou la seule chose qui compte est la performance de leurs exploits de la journée !
 
Mais qu’est-ce qui arrive à se monde, ou personne ne pense plus à l’amour ! Alors dit moi toi l’ange ou l’amour s’est elle envolée je désir m’y rendre pour voir ce monde magnifique et merveilleux, je désire monté sur tes ailes et emmène moi avec toi dans cet endroit enchantée. Ici je vis de douleur ou je corresponds plus à ces gens haineux et où la violence prône l’amour ! Emmène moi avec toi pour l’éternité là-bas pour que je puisse servir à quelques chose et ou les gens ne se moqueront pas de moi à cause que je suis sensible et ou je pourrai sauver les gens sans que personne me détruise par ce que je penses aux autre ! Je veux disparaître dans ce firmament et voir cette lumière qu’on m’a déjà parlé ou les gens m’attendront les bras ouvert et me tendront cette main que je recherche, cette chaleur humaine qui n’existe plus ici !
 
Je ne veux même pas traînés aucun souvenir avec moi de ce monde de misère, aucune blessure du passé ou mon cœur détruit par l’amour que je n’ai pas eu ! Chère ange je veux même pas me souvenir de ce monde, des femmes qui ont passé dans ma vie et qui m’ont détruit, je veux juste être aimé à ma juste valeur, être compris et vivre sans être jugé de mes actes bons pour les autres ! Je veux que tu m’emmène avec toi parce que tu es mon seul ami dans ce monde et parce que je te ressemble en fait à vouloir sauvé ce monde en désinvolte et regarde nous tous les deux on est en train de se détruire parce qu’il sont plus fort que nous et on ne peut rien y faire ! Regarde toi avec tes ailes qui saigne mon ange et cette tristesse que je vois dans tes yeux que tu es comme moi les yeux rouges de chagrin puisque tu te sens impuissant comme moi à toute cette horreur de ce monde sans amour !
           
Envolons nous vers ton monde d’amour et de paix et où je pourrai me reposer enfin dans un monde meilleur ! Dit moi toi qui sait tout, mon ange, penses-tu que je pourrai trouver cette femme un jour là-bas qui m’aimera du plus profond de son cœur et ou elle sera prête à se noyer pour me sauver la vie et ou je pourrais en faire autant sans que personne me traite de moins que rien en retour ! Dit moi toi mon ami’ est‑ce que j’aurai le droit d’aimer à la folie là-bas sans que l’on me dise que je suis fou. Dit moi toi avec tes ailes blanche, est-ce que j’aurai le droit de me mettre à genoux de cette femme que je trouverez sans qu’elle me regarde comme si j’arrivait d’une autre planète, est-ce que j’aurai droit de la prendre dans mes bras sans qu’elle me repousse et lui dire que je l’aime et qu’elle me crois enfin ! Est-ce que parce que j’ai la gueule d’un ange et bon comme toi elle me repoussera pensant que je peux tout les avoirs à mes pieds parce que je suis différents des autres et que j’attire l’attention des gens sensibles et à problèmes puisque notre mission est bien de les sauvés en Gabriel ! Est-ce qu’elle m’attachera comme un chien qui n’a plus le droit de parler à personne et me coupera mes ailes afin que je puisse m’envoler suite à toute la torture qu’elle pourra me faire subir !
 
Gabriel, ce soir j’ai besoin de ton aide à m’envoler puisque l’on ma coupé mes ailes et tu devras aussi me détacher afin que je puisse me lever de se trou de torture afin de m’envoler avec toi ! N’oublie pas de prendre la seule chose que jeveux emmenez avec moi dans ton monde, ce petit ours blanc jaunit par la poussière que je tenais dans mes bras quand on me frappait dessus avec ces ceintures de toutes les couleurs et leurs bout de métal, ce petit ours qui était le seul à me consoler et qui m’empêchait d’avoir mal quand on me criait toutes sortes de méchanceté pour développer ma haine et ce petit ourson qui lui manque un œil puisqu’il la donné pour me sauver la vie dans ce monde de terreur ! Mon ange ou tu te trouvais quand on a essayé de me noyer dans un bain, quand on ma apporté dans la forêt et qu’on ma débarqué de cette voiture pour que j’y reste à la noirceur, quand on m’attaché sur ce lit au deuxième étage et que l’on me brûlait avec des chandelles ! Gabriel dit tu me regardais et tu avais les yeux rouges comme aujourd’hui dit moi !
 
Dit moi avec tes ailes pourquoi n’as-tu pas sauvé mon petit chien saucisse avant que cette brute le fasse passez dans l’autre monde devant mes yeux, c’étais-tu parce qu’au fond de toi tu savais qu’il serait plus heureux de l’autre côté et qu’il ne voulait plus vivre dans ce monde tout comme moi ! C’est ça en mon ange, tu lui as sauvé la vie à mon petit chien dit ? Je sais que tu es bon et tout ce que tu as rien fait finalement c’est tout simplement que tu savais que nous n’étions pas fait pour vivre dans ce monde ! Je comprends maintenant tes gestes qui n’ont servis à rien, tu as cessés d’y croire et tu t’es dit pourquoi sauver ceux qui sont tristes en fait ! Je vais les sauver pourquoi, ils le redeviendront puisque ce monde est comme ça ! Alors dit moi Gabriel c’est ça qu’il faut que je comprenne là, tu les sauves en ne faisant rien pour eux comme pour moi quand on m’enfermait dans ce sous-sol à la noirceur pendant des jours sans mangé pour qu’il passe de l’autre côté comme mon petit chien saucisse pour être enfin heureux !
 
Savais-tu mon ange avec tes ailes que mon petit ourson blanc est mon seul ami à par toi et qu’en fait il est devenu mon meilleur ami quand mon petit chien est parti et depuis ce temps il ne ma jamais quitté parce que j’aurais jamais laissé personne lui touché puisque c’est mon meilleur ami ici !
 
Alors partons vers ton monde magnifique et à quoi ça te servirait de rester ici si tu n’as plus rien à faire tu te fais souffrir absolument pour rien ! Viens avec moi, je vais t’aider à t’envoler parce que je sais que tes ailes te font tellement souffrir ! Allons nous en toi et moi ensemble, je te motiverai à chaque battement d’aile pour que tu y parvienne par ce que je sais que c’est ton rêve tout comme moi d’être enfin heureux au lac des cygnes ou les cygnes là sont tes meilleurs amis et dont tu t’ennui ! Allons Gabriel, un peu de courage, lève toi et ouvre tes ailes je vais te montrer comment faire, avec mes bras je t’aiderai à battre tes ailes pour ce monde meilleur !
 
Mon ange, a partir de cette instant je veux que tu comprenne bien que je t’ai toujours aimé même si tu ma laissé dans la douleur, seul souvent avec ma tristesse, même si je criait pour que tu reviennes et que tu faisais semblant de ne pas m’entendre, ou quand tu pensais que je m’envolerais vers d’autres horizons !
 
Je sais que tu m’as toujours aimé mon ange et ça à la folie puisque tu ne faisait rien quand j’étais triste puisque tu voulais que je me laisse aller afin de rejoindre les miens de l’autre côté puisque tu me voyais malheureux à tes yeux ! Alors partons durant que nous sommes amoureux encore l’un de l’autre et allons construire notre jardin secret tant rêvé près du lac des cygnes ou les roses sauvages ne porte aucunes épines et ou les colombes survol notre amour à tout les jours de notre éternité à nous aimé sans que personne essai de détruire ce que l’on à mis tant de temps à apprivoiser, notre amour. Et pardonnons à tous ici car ils ne savaient pas qui nous étions et pardonnons leur pour tout ce qu’il nous on fait tout simplement ! 
 
 
Auteur : Jean-Pierre Picard
Date : 23 mars 2007
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17 mai 2007 4 17 /05 /mai /2007 02:23

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      Un jour, dans une forêt vivait un petit garçon, il n’était pas comme les autres, il avait un don extraordinaire, il pouvait voir à travers les cœurs des hommes. Mais, quand qu’il allait à la ville avec sa mère il se mettait à regarder les gens et à les étudier car il savait ce que ces personnes ressentaient au plus profond de leurs cœurs parfois ceux qui avaient de la douleur, d’autres de la joie et d’autres de l’amour. Le petit garçon Dominic était bien pauvre son père était mort et c’est sa mère qui travaillait dans un magasin à la ville et ne gagnait pas beaucoup.
 
    Dominic, était très sérieux pour son âge, il s’occupait du jardin, et ramassait dans la petite cabane de bois que son père avait bâtit avec de vieilles planche de bois. Dans cette cabane, pas beaucoup de meuble seulement ceux que les gens avaient pu leurs offrir car le prêtre de la ville ramassait pour les gens démunis. Comme le petit garçon est seul toute la journée il s’invente des jeux, il parle à un ami imaginaire et il court dans les champs regarde les fleurs et en cueille pour sa mère.
 
    Le soir quand que sa mère arrive tout est près le petit garçon a préparé le repas car sa mère était très fatigué quand qu’elle arrive de son travail et elle est très reconnaissante envers son enfant et lui dit toujours toi Dominic tu es un ange je me demande ce que je ferais sans toi mon cœur, tu ensoleilles ma vie et tu me fais oublier tout les ennuis de la vie. Tu es un brave petit tu iras loin mon fils. Le garçon lui répond : Maman j’ouvre mon cœur pour réconforter ceux que j’aime et je n’ais aucun effort à faire car les sentiments que j’ai pour toi vient naturellement dans le plus profond de mon cœur chère maman. Merci cher petit tu es vraiment un être à part.
 
    Voici une chanson que la mère de Dominic fredonne le soir après le souper….
 
     Dominic que nic que nic s’allant tout simplement le cœur content en tout temps et en tout lieu il ne parle que du Bon Dieu,
il ne parle que du Bon Dieu….Une vieille chanson que la mère de Dominic chante pour réconforter les cœurs malheureux.
 
Auteur : Carole Masson
               2007-03-27
 
 
 

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15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 22:40
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                                                      Dans un grand domaine un monsieur austère demeure là avec sa famille, il est très riche et très bourru et sa femme très gentille aide les personnes dans le besoin elle est bien aimée de la population. De leurs unions naissent une petite fille Marie-Soleil très belle, et mignonne et deux beaux joyaux sont ses yeux bleus d’azurs. Cependant la petite fille n’est pas très heureuse car son père n’aime pas qu’elle parle au personne qui sont pas de son rang. Les années passent tout change et la petite fille grandit fait des études et à beaucoup d’amis mais elle s’ennuie car avec les leçons de musique et de chant elle n’a pas beaucoup de temps pour s’amuser et sortir comme une jeune fille de son âge maintenant qu’elle a 16 ans elle veut connaître des garçons et c’est un peu normal, mais son père lui a réservé un bon parti car dans ce temps là tout était écrit d’avance, mais Marie-Soleil se disait que si elle se marie un jour se sera avec amour non pour le nom et l’argent. Elle défiait toujours son père et ne faisait qu’à sa tête et un jour elle décida de partir dans la ville pour aller danser sans que personne ne s’en aperçoive elle quitta le domaine. Dans la ville beaucoup de personnes malhonnêtes pour une jeune fille qui s’aventure seule au beau milieu de la nuit et en plus c’était la première fois qu’elle allait dans la ville cela était pas très prudent mais elle n’avait pas froid aux yeux et elle filait son chemin et rentrèrent dans une salle ou il y avait plein de jeunes et beaucoup d’hommes avent de chair.   Elle s’assit sur un banc et regarda autour d’elle et tout à coup un jeune homme lui demande si elle voulait danser en se levant la tête une grande sensation de joie l’envahit et le garçon lui sourit et lui tendit la main sans même parler il se retrouve tous les deux sur la piste de danse et toute la nuit furent pour eux un moment inoubliable. A la fin de la soirée le gentil jeune homme lui demandait si elle voulait aller avec lui au cinéma elle lui sourirait et voilà que grandit un grand amour. Déjà 6 mois qu’ils se fréquentent et son très amoureux et quand qu’il y a de l’amour il y a de l’espoir. Quand qu’on n’a jeune on se laisse emporter par des gestes et ce qui arriva devra arriver, Marie-Soleil se trouve enceinte et ne sais plus quoi faire si jamais son père apprenait ça toute sa vie serait perdue à jamais alors ils décident tout les deux de se marier. Mais, avec sa mère pas de problème mais son père ne voulait pas attendre raison alors la fille partie sans le dire à personne vers son amoureux et ils se marièrent pour élever leur enfant. La vie n’est pas facile le garçon travaille comme livreur pour survenir au besoin de sa famille et Marie-Soleil donne des cours de piano au jeune enfant de la ville. Les années passent et la petite fille de Marie-Soleil a maintenant 6 ans, elle se nomme Angèla et mignonne comme sa mère et son père. Mais dans ce grand bonheur arrivent un malheur le mari de Marie-Soleil meurent d’un accident de voiture. Pauvre Marie-Soleil toute sa vie a basculé dans un cours moment et il faut qu’elle élève sa fille seule maintenant et pas beaucoup d’argent elle demande à sa mère de garder sa petite fille pour qu’elle puisse continuer ses études pour pouvoir trouver un emploi. Mais le père de Marie-Soleil est pas très enchanter de cette idée mais accepte quand même car il est devenu vieux et il est fatigué et ne veux plus se mêler de rien. Angèla va chez sa grand-mère et son grand-père. La petite Angela est très serviable pour son âge et ne comprend pas pourquoi son grand-père ne lui parle pas et qu’il est toujours de mauvaise humeur. La petite fille fait tout pour se faire remarquer de son grand-père, elle le suit, essaie de lui parler mais soudain lui vient une idée si je chantais car la petite Angela a une très jolie voix, alors assis sur un banc tout près de son grand-père elle commence à chanter un air radieux comme un rossignol. Soudain tout monde arrête ses occupations pour écouter la petite fille de cette voix harmonieuse. Son grand-père étonné la regarde et tout à coup lui sourit mais avec difficulté le pauvre, il ne savait plus sourire. Le grand-père retrouve sa joie de vivre et toute la famille se réunisse pour une grande fête. Le moral de cette histoire quand l’amour est en nous rien ne peut nous arrêter. Il faut savoir aimer si nous voulons que les autres nous aiment.
 
 
Auteur : Carole
               2007-03-16
 
 
      
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14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 00:15

 

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L'amour étoilé !

 

 

Dans une compagnie d’une banlieue mondaine travaillait un jeune homme, il était un grand patron et avait tout ce qu’il voulait et était très à lèse dans la vie. Toujours sûr de lui, il ne se gênait pas pour faire de l’argent sur les profits des autres.

 
Un bon matin, où il partait pour aller faire un examen pour sa compagnie, et soudain en se retournant il vit une jeune fille et lui demandait les réponses de l’examen mais le professeur ayant tout vu déchirait le document de la fille et elle ne pouvait plus passer l’examen. Le garçon était très gêner de cette situation il voulait s’excusez mais la fille était déjà partie pas moyen de la retrouver alors déçu il retournait chez lui.
 
Deux semaines plus tard la fille en question rencontre ce garçon et lui demanda s’il voulait aller prendre un café pour s’expliquer et lui demander un service, alors le garçon Emmanuel accepta avec plaisir pour se faire pardonner de la mauvaise situation de l’autre jour.  Cindy voulait que le garçon habite avec elle pour 1 mois, une sorte de parie lui dit-elle ! Tout surpris il lui demande la raison et pourquoi une telle invitation. Cindy lui dit que s'il accepte jamais il ne regrettera ce mois extraordinaire de sa vie. 
 
Maintenant une semaine est passée et ils font connaissance, ils s’apprivoisent et Emmanuel commence à devenir amoureux de cette fille et se laisse fondre dans ses yeux doux. La première nuit fuit inoubliable des rapports très profond. Mais, Cindy cache quelque chose a Emmanuel et lui essaie de le découvrir. Les locataires savent ce qui se passent et le garçon essaie d’en apprendre d’avantage mais rien à faire ils lui disent que quand le moment sera venue il le sera par Cindy.
 
Une autre semaine est passée le garçon fait un cadeau a Cindy il lui achète un petit chien pour sa fête, elle est ravie et très surpris mais lui dit qu’elle ne peut le garder et lui se demande pourquoi, mais elle ne répond pas. Le locataire fait une petite soirée en l’honneur de la fête de Cindy alors ils se préparent et vont à leur soirée la fille est ravissante avec une robe rose et garnie de perles. Mais Emmanuel voit que Cindy n’est pas bien ce soir elle a mal à la tête et ne parle pas beaucoup elle souffre énormément. A la table, ils discutent et tout à coup la fille part en courant dans son appartement, tous surpris Sergio le locataire monte avec elle car il s’est quoi faire pour son mal. Mais Emmanuel les suit et découvre qu’elle est très malade et la se fâche se demandait mais qu’est ce que c’est ce mystère et va à la pharmacie qui est sous clé et brise d’un coup de poing pour ouvrir et voit tous les médicaments à prendre et devine que Cindy a le cancer.
 
Ils appellent les ambulanciers car elle a perdu connaissance son mal recommence de plus en plus fort à l’hôpital ils leurs disent qui n’a plus rien à faire quelque mois ou de semaine à vivre. Emmanuel est très triste et révolté de ce qui se passe car il aime beaucoup Cindy et il sait que maintenant qui va la perdre pour toujours.
 
Mais la vie nous fait parfois des cadeaux Cindy a décidé de partir chez ces parents car là-bas ou les parents de Cindy demeurent les hôpitaux ont des nouveaux traitements qui pourrait aider Cindy a retrouvé la santé. Mais, elle ne le dira pas à Emmanuel et va tout simplement le quitter pour combien de temps seulement vous les lecteurs vous trouverez la réponse dans votre cœur. 
 
Auteur : Carole Masson
               2007-03-15
 
 
 
 
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13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 16:13

72447-1--copie-1.jpg  Une journée d’été, quand qu’il y avait plein de soleil, j’avais

16 ans l’âge où l’on croit au conte de fée. Je me promenais seule avec moi-même je parlais dans ma tête. Je rêvais au prince charmant et je me mettais en cette situation d’amour car je n’avais jamais aimé un garcon. Je me voyais dans ses bras le cœur me transportait silencieusement dans sa musique de ses tics tacs. Mais un instant de distraction et je bouscule une personne toute surprise, je le regardais et il me fit un sourire alors j’ai su que c’était lui mon premier grand amour.

 

Car, j’entendais le tambour de mon cœur si fort que j’avais l’impression que tout arrêtait pour moi, comme si je vivais dans un autre monde. Il me demandait, si je pouvais marcher avec lui avec sa voix douce, je lui répondit que cela me ferait plaisir.

 

Tout en parlant, on se présentait mais je n’écoutait même pas ce qu’il me racontait, je ne faisais que de le regarder dans le miroir de ses yeux. Et voilà qu’on se retrouve dans un parc, il me fit signe de m’asseoir pour mieux faire connaissance. Il était si mignon avec ses cheveux noirs et ses yeux claires sa bouche invitante et ses mains grandes et fortes.

 

Surtout la façon qu’il avait de me regarder et les gestes qu’il faisait en parlant m’envoûtait de désir comme si je le connaissais depuis toujours et il m’avait sûrement envoyez des tonnes d’amours et de désir. Je cherchais enfin la façon de pouvoir lui plaire j’avais l’air un peu confus et ne savais pas comment réagir à ses attentes. Soudain le silence autour de nous, il me regarda et il me dit tout simplement crois-tu à l’amour toi ! Oui, je crois au sentiment qu’une personne peut apporter à une autre sans savoir pourquoi, il se mit à sourire et il s’avançait vers moi, incapable de bouger et de parler tout tournait autour de moi mon cœur se laissait bercer ses mains sur mes épaules et d’un baiser doux je me laisse emporter vers la rue de mon cœur dans le lit de ma main.

 

Soudain, j’attendis un bruit qui me fait sursauter et je réalise que je rêvais dans ma tête assis dans ce parc seul et que mon prince charmant avait disparu comme par enchantement. Le soleil était parti et que l’ombre de la nuit venait frapper à ma porte. Je n’avais que 16 ans et l’amour de mon cœur avait soudain pris place à la réalité de la vie. Les yeux pleins de larmes et le cœur sans espoir, je retournais vers la maison en pensant que peut-être un jour le soleil brillera de nouveaux et que cette fois-ci le prince charmant me tiendra la main et que le bonheur fera surface dans mon cœur.

 

 

Auteur : Carole Masson

              2007-02-14

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